Jacques Goldstyn n’a pas son pareil. Fantaisiste, original, talentueux, il offre des histoires amalgamant des thèmes importants (la guerre, la différence, l’amitié, etc.) et des illustrations tendres et belles qui ravissent l’œil et l’âme.
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Dès la première case, le personnage de Clémence apparaît comme cette entité justicière et flamboyante. Forte de cette révolte qui bouillonne en elle jusqu’au débordement, solidement ancrée dans ses convictions militantes, elle libère sa voix et hurle son indignation.
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