Joan n'est plus amoureuse de Victor et souffre de se sentir malhonnête avec lui. Alice, sa meilleure amie, la rassure : elle-même n’éprouve aucune passion pour Eric et pourtant leur couple se porte à merveille ! Elle ignore qu’il a une liaison avec Rebecca, leur amie commune…
Trois amies réalisé par Emmanuel Mouret (2024) | | |
| Joan n'est plus amoureuse de Victor et souffre de se sentir malhonnête avec lui. Alice, sa meilleure amie, la rassure : elle-même n’éprouve aucune passion pour Eric et pourtant leur couple se porte à merveille ! Elle ignore qu’il a une liaison avec Rebecca, leur amie commune… Nouveau marivaudage amoureux d'Emmanuel Mouret (Mademoiselle de Joncquières, Chronique d'une liaison passagère…), Trois amies inaugure une nouvelle tonalité, plus tragique, dans la filmographie du cinéaste. À l'image de La Ronde d’Ophuls, Mouret nous emmène tour à tour dans les récits de ses trois amies (India Hair, Camille Cottin et Sara Forestier), offrant une réflexion profonde sur l'honnêteté et la noblesse d'âme. Un voyage intime et poignant autour de l'amour et l'amitié, tant dans leur beauté qu’à travers leur fragilité. | | |
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Les films primés aux César 2025 |
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LE CLASSEMENT DE LA RÉDACTION |
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Multi récompensé, l’infatigable Jacques Audiard, tout juste auréolé de sept César et deux Oscars pour Emilia Pérez, s’impose comme l’un des plus grands cinéastes français contemporains. Toujours en réinvention, Audiard explore une multitude de genres (drame musical, réalisme brut, western...) avec une mise en scène visuelle et narrative unique. Afin de replonger dans son œuvre, qui peut se voir tout entière comme une œuvre d’art totale, nous vous proposons un classement totalement subjectif de ses films. |
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L'ACTUALITÉ À L'ABONNEMENT |
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| | Traversant les périodes, notre collection de polars noirs est l’occasion de découvrir les différents masques du genre. Le « Maître des ténèbres », Fritz Lang ouvre la sélection avec La Rue rouge (1945), œuvre mythique pour ses passions destructrices et son association cauchemardesque entre film noir et expressionisme. Les relations amoureuses sont autant infectées que les villes elles-mêmes, occasion pour sonder le pouls de New York, de L’Enfer de la corruption (1948) d'Abraham Polonsky à La Cité sans voiles (1948) de Jules Dassin. Mais le polar peut aussi être pop et coloré comme L’Affaire Thomas Crown (1968) réalisé par Norman Jewison avec Steve McQueen et Faye Dunaway, duo aussi fougueux qu'élégant. Enfin, Alain Corneau, adorateur de Lang, explore à la française les thèmes propres au film noir, femme fatale et fatalisme, sans pour autant en épouser le genre dans La Menace (1977). | | |
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